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Abstract Au terme de certe these, il nous semble avoir repondu aux trois posees dans l’introduction cans les trois parties de cette Nous avons dans la premiere partie etudie presque tous tes ueux ulturels” dans l’reuvre de Gracq et les valeurs symboliques qui s’y tachent. C’est ainsi que terrasses, balcons ou lieuX eleves comme , s theatreS sont la traduction dun desir de fusion avec l’immensite, s sont les lieux au l’on peut entendre le silence terrestre et qui bsorbent les bruits de l’homme autrement dit les lieux favorables a elaboration des pensees du heros. Us sont aussi les lieux ou 1’0n eut surprendre quelqu’un sanS etre vu de lui. La route represente la forme materielle dune frontiere entre mondes. En conduisant d’un point a un autre, elle mscrit la separation entre ces deux mondes autant qu’elle les ’relie.Le trace de la route introduit un mouvement,un rythme, la quete (dune communication et incarne une metaphore du voyage,du depart. Les villes gracquiennes sont vouees a l’irreralite, au reve, au retour a la sauvagerie, a la destruction, au vide, a la sterilite, au nomadisme, elles se rapprochent ainsi par leurs dimensions et par leur configuration a l’image des villages qui sont la plupart du temps vides et comme abandonnes, inoccupes, baillants. La demeure est une metaphore du monde, un abrege du macrocosme.Elle apparait commeun refuge, une retraite hormonisan t les axes de l’horizontalite et de la verticalite. Elle apparait comme un lieu central auteur duquel se flXent les songes et qui assure la coherence entre dedans et dehors. Elle est liee a la variation des elements: elle acceuille l’ombre et la jurniere, la chaleur et le froid. |