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INTRODUCTIONOnly 14 pages are availabe for public view
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Abstract
La vue sociale reste limitee pour Ie corps feminin, celui-ci obeit a une loi sociale explicite qui do mine ses comportements. Le corps doit toujours correspendre aux regles de la feminite. On demande ala femme perpetuellement de ne pas deformer l’image feminine attendue. Malgre que celle-ci s’oppose parfois a ses desirs. De plus, la loi sociale intervient dans la sorte de l’activite que la femme pratique, elle lui impose des activites dites feminines pour maintenir l’image de la beaute et de la feminite demandee. Le corps n’echappe pas a l’emprise sociale, il doit toujours modifier sa maniere d’etre pour repondre au comportement attendu.
Le personnage feminin se sent piege, car son corps ne peut pas s’exprimer librement. 11 est partage entre l’envie d’epouser ses propres aspirations, ou de correspondre a l’image physique que la societe et l’epoque ou il existe lui imposent. La relation entre la femme et son propre corps reste sous l’influence des lois sociales.
La feminite devient une chaine pour la femme. Et quand Ie corps essaie de s’exprimer librement, il se heurte aux taboux sociaux.
En effet, la femme cent pour cent feminine qui donne l’ideal de la feminite n’existe pas. Mais pour parvenir a cet ideal feminin, la femme doit choisir librement la personnalite, les activites et les comportements correspondus a ses envies. C’est-a-dire qu’elle doit chercher sa propre
identite, et choisir sa maniere d’etre, mais a condition de ne plus depasser dans la mesure du possible, les lois sociales.
L’epanouissement total d’un etre depend avant tout du rapport qu’il etablit avec son propre corps et du rapport qu’il echange avec Ie monde exterieur.
La femme possede Ie pouvoir de modifier et de transformer Ia forme de son corps. Grace a sa relation dynamique avec Ie monde, Ie corps acquiert la souplesse et Ia Iegerete demandees.
La communication positive avec Ie monde et specialement avec Ia nature engendre des consequences physiques et encore psychologiques notables pour Ie corps. Par contre I’absence de cette relation etroite avec Ie monde conduit Ie corps a Ia decheance physique.
La femme peut vivre heureusement sans I’existence d’un homme dans sa vie. Mais elle ne peut pas ressentir Ie bonheur sans Ia nature et Ia communication avec Ie monde exterieur. Elles dedommagent la femme des sensations amoureuses. La femme cherche toujours Ia jouissance des sens. Elle ressent cette jouissance dans Ia saveur des choses, dans les paysages et dans I’odeur vivante des herbes. Si cette communication avec Ie monde satisfait ses envies de participer physiquement et de jouir, Ie corps connaltra l’epanouissement total. Mais au contraire si elle ne satisfait pas ses envies, Ie corps eprouvera un grand sentiment de frustration et de faiblesse.